Depuis le 18 juin dernier, Nicolas Sarkozy tente de se faire passer pour un héritier du Général de Gaulle.
Certes Mr Sarkozy est parvenu à faire de brillants discours à Agen et Nîmes, avec il est vrai des relents de gaullisme et en ayant dans ces bagages des députés de souche gaulliste tel Jacques MYARD qui fut un grand combattant contre la constitution Européenne.
Mais au lieu de s’attarder sur ses déclaration soudaines, mieux vaut regarder l’ensemble de ses déclarations ainsi que ses réalisations.
_ Nicolas Sarkozy s’est battu pour la constitution Européenne en opposition frontale avec les gaullistes historique(Pierre Messmer, Jean MATTEOLI, etc…), et les écrits du général de Gaulle que vous pouvez trouver sur ce site.
_ Nicolas Sarkozy propose de faire voter de nouveau la constitution européenne par le parlement. Sans aucun respect du vote référendaire des Français.
_ Nicolas Sarkozy est favorable à l’entrée de la Turquie au sein de l’Union Européenne. En opposition avec son propre parti.
_ Nicolas Sarkozy est le chantre de la discrimination positive, ce qui est en total désaccord avec les principes même de la république.
_ Nicolas Sarkozy propose de faire voter les étrangers aux élections locales.
_ Nicolas Sarkozy désire modifier les institutions de la Véme République, en mettant sur la touche le principe du référendum.
_ Nicolas Sarkozy est également atlantiste, il déclarait le 27 novembre 2004 : qu’il désapprouvait la position de la France sur l’Irak, au moins dans la manière dont elle fut défendue.
_ Et toujours ce 27 novembre 2004 il déclarait « de nouvelles idées, de nouvelles équipes, et de nouvelles méthodes ». Il n’hésite d’ailleurs pas à enterrer une bonne fois pour toutes le gaullisme, en assurant qu’on ne « fait pas la politique pour la France de dans vingt ans avec les idées d’il y a cinquante ans ».
Tout cela est bien réel et vérifiable, comment alors oser se prétendre être gaulliste lorsque l’on passe son temps à détruire par son action ou par ses déclarations, la certaine idée de la France et de l’homme qu’a toujours défendu le général de GAULLE.
Jean-Pierre ROMBEAUT
Comme le président Chirac. La cérémonie du 14 juillet qui vient de s'achever aujourd'hui vendredi à Vannes aura été la dernière d'Elisabeth Allaire en qualité de préfet du Morbihan. L'été 2006 sera chargé en mutation à la tête des services de l'Etat.
Un dernier sourire aux élus locaux et aux autorités civiles et militaires. C'était aujourd'hui vendredi le dernier 14 juillet d'Elisabeth Allaire en qualité de préfet du Morbihan. Nommée préfet hors cadre, Elisabteh Allaire, partira en retraite en fin de semaine prochaine en Haute Marne, après trois ans passés dans le département. De son côté, Christophe Merlin, sous préfet du Morbihan partira également à la fin de l'été. Direction Alençon, où ce commissaire de police vient d'être nommé directeur départemental de la sécurité publique de l'Orne. Enfin, toujours aux rayons des mutations, Bruno Picard, le directeur départemental des renseignements généraux quittera également le département fin août. Il vient d'être placé à la tête des renseignements généraux de Nice. Un département deux fois plus peuplé que le Morbihan... à la notoriété plus sulfureuse aussi.
La deuxième frégate du programme franco-italien Horizon sera aussi la dernière pour la partie française du contrat.Le 12 juillet, le chantier naval DCN de Lorient a procédé à la mise à l'eau du deuxième bâtiment de lutte anti-aérienne du programme Horizon. La série prévoyait à l'origine la livraison de 4 bateaux (de 7 300 tonnes) pour la marine française pour un coût de 3 milliards d'euros. Les navires doivent remplacer les Suffren, Duquesne, Jean-Bart et Cassard. Mais à la fin de l'année dernière, par manque d'argent, un arbitrage est intervenu. Le ministère de la Défense n'étant pas en mesure de financer simultanément tous les programmes prévus (dont les 17 frégates multi-missions FREMM), décision avait été prise d'abandonner le projet des deux autres frégates Horizon. Pour le chantier DCN de Lorient, chacune de ces frégates représente environ l'équivalent de 2 millions d'heures de travail. Construit en collaboration avec l'électronicien de défense Thalès, ce type de bâtiment peut lancer, dans la configuration actuelle, une batterie de 48 missiles anti-aérien Aster pour protéger un groupe naval. Sister ship du Chevalier Paul, le Forbin a été mise à l'eau en mars 2005. Livraison prévue : dans 18 mois.
Le ministre de l'Intérieur vient soutenir la préfète du Morbihan, après la polémique soulevée par le festival techno de Meucon.Le tribunal administratif avait interdit la réquisition de l'aérodrome de Vannes-Meucon pour le teknival qui a réuni quelque 40 000 teufeurs les 1er et 2 juillet. La préfète Elisabeth Allaire avait décidé de passer outre étant donné le déroulement imminent de l'événement. Cette décision avait suscité de vives critiques parmi les élus de la région de Vannes, mais le ministre de l'Intérieur avait approuvé ce choix. Le 4 juillet, Nicolas Sarkozy s'est posé sur l'aérodrome de Vannes-Meucon lors d'une visite éclair pour son accord avec les choix de la préfecture. Le ministre a estimé qu'une interdiction aurait, en réalité, généré plus de troubles, sans guérir pour autant le "cancer" de la drogue : "s'il fallait interdire tous les lieux où il y en a, (...) il n'y aurait plus grand-chose d'ouvert."
Durant le festival, gendarmes et douaniers ont interpellé une cinquantaine de personnes pour trafic de stupéfiant. Ils ont saisi au total 1,4 kilo de cocaïne, environ 1 000 pastilles de LSD, 2 000 cachets d'ecstasy et 5 kilos de résine de cannabis.
« Gérard Pierre, le maire de Plouharnel, était là pour l'accueillir. Un peu avant 12 h 30, hier, Philippe de Villiers, député MPF, est descendu de sa 607 aux vitres noircies pour une conférence de presse devant les grilles de la préfecture.
Il a dénoncé le « regroupement de teufeurs et de dealers » à l'aérodrome. Et demandé « l'application immédiate de la décision du tribunal administratif ». Avant d'ajouter : « Une proposition de loi va être déposée, cet après-midi [hier], à l'Assemblée nationale, pour faire interdire les rave-parties sur tout le territoire national. »
Le président du conseil général vendéen a, par ailleurs, hier matin, déposé plainte devant le procureur de la République de Vannes, pour que « le ministre de l'Intérieur soit jugé pour voie de fait. J'ai la preuve que Nicolas Sarkozy a donné l'ordre à la préfecture de continuer à organiser le teknival. »
Deux élus bretons viennent d’échanger récemment leurs points de vue sur les finances publiques dans les colonnes du Monde. Mme Marylise Lebranchu, parti socialiste, a fustigé le 19 avril 2006 les transferts de compétences de l’Etat, mal géré par la droite, vers les Régions, bien gérées par la gauche, sans les transferts de financements avenants. Nul doute que si la situation vient à s’inverser, Mme Lebranchu saura adapter son discours.Jeudi 18 mai, M. Dominique de Legge, président du groupe UMP au conseil régional de Bretagne, nous affirme que le financement des collectivités locales représente le premier poste de l’état, soit 79,5 milliard d’euros. Chaque contribuable qui vient de recevoir sa feuille d’imposition 2006 peut pourtant constater que ce poste est annoncé à 63,9 milliards par le MINEFI (Ministère des Finances) et représente le deuxième poste après l’enseignement et la recherche, 80,4 milliards, et avant la dette et les engagements financiers de l’état, 40,8 milliards.
Mme Lebranchu ne cite aucun chiffre et ne risque donc pas de se tromper. M. De Legge ne se méfie pas de ceux qu’il trouve, l’état et les collectivités locales en produisant facilement sans complétude. Au-delà de ces questions de chiffres, il confond un jeu d’écritures comptables publiques avec une politique de régionalisation dont il semble considérer qu’elle est toujours à l’ordre du jour.
Mais ce n’est pas tant la répartition état-collectivités dans les finances publiques qui importe, que les montants globaux. Etat et collectivités locales s’endettent davantage chaque année, individuellement ou collectivement, que ce soit avec la droite ou avec la gauche, chacun se défaussant sur l’autre de cette responsabilité.
On peut estimer à partir des données du MINEFI qu’ont été prélevés en 2004 en Bretagne près de 22 milliards d’impôts, étatiques et locaux confondus, sur un PIB de 100 milliards, dont environ 6,3 sont comptabilisés au titre de la Région Ile-de-France. En effet, suite à la création de la Direction des Grandes Entreprises au sein du MINEFI en 2002, la TVA, l’impôt sur les sociétés des entreprises dont le chiffre d’affaires est supérieur à 0,6 Milliards d’euros sont gérés à Pantin. Ce qui traduit on ne peut mieux la recentralisation de l’état français.
Les dépenses publiques en Bretagne, Etat et collectivités confondus, peuvent, avec autant de précision, être estimées de l’ordre de 19,5 milliards d’euros, ce qui correspond à un trop-perçu important d’impôts prélevés en Bretagne que ces élus seront sans doute bien en peine de commenter et justifier.
Nos deux élus bretons s’égratignent donc gentiment dans le cadre d’un faux débat. Ils pourraient associer leurs talents pour exiger que les administrations mettent à la disposition des citoyens des chiffres précis, fiables et actuels sur les finances publiques. C’est un signe de santé démocratique que de disposer de ces informations et bien des pays dans l’Union européenne, dont l’Irlande (www.budget.gov.ie), nous montrent l’exemple.
Pour le Parti Breton, le président Gérard Olliéric
27/06/06
La Bretagne refuse le terrorisme islamique et soutient Israël
Le jeudi 9 juin 2006 à 18 h, à l'initiative de l'association France Palestine solidarité, présidée pour la Bretagne par l'élu communiste Piero Rainero, un peu moins d'une vingtaine d'individus proches de l'extrême-gauche (LCR, Rouges/Verts, PCF, UDB, SUD, JCR, etc.) manifestaient devant la préfecture du Finistère pour exiger que l'Union européenne reprenne le financement d'une autorité palestinienne sous la coupe du mouvement islamiste Hamas. Mais pour la première fois, les soutiens à l'islamisme ont été contrés par l'action sur le terrain des militants de Breizh-Israël.
En intervenant devant la préfecture de Quimper, l'association Breizh- Israël a manifesté publiquement et pacifiquement son refus du terrorisme et son soutien à Israël. L'Union Européenne ne doit plus, selon l'association, financer d'organisations terroristes et antisémites.
Les fonctionnaires palestiniens encouragent les meurtres antisémites
A titre d'exemple on peut citer le cas de la télévision publique palestinienne qui, le 10 septembre 2004, lançait l'appel suivant : « Le prophète n'accordera pas la Résurrection tant que les musulmans ne combattent pas et ne tuent pas les Juifs ». On peut également évoquer les manuels scolaires palestiniens qui inculquent la haine raciale des Juifs aux enfants arabes de Palestine. Cette fonction publique, qui développe une propagande aboutissant aux attentats islamistes, n'a plus à être financée par les citoyens bretons ni par les citoyens européens.
Une insupportable collusion entre l'extrême-gauche et l'islamisme
Une insupportable collusion entre l'extrême-gauche et l'islamisme se développe dont le visage public est le soutien aux Arabes de Palestine. Le matin du jour de la manifestation, des femmes en tchador ont tracté dans les rues de Quimper au profit du Hamas. Pour marquer un coup d'arrêt à cette imposture aux dérives potentiellement dangereuses, une délégation locale de l'association Breizh-Israël s'est rendue sur lieu prévu pour la manifestation islamiste. Aux abords de la préfecture, les drapeaux bretons (croix noire traditionnelle de l'état breton et « Gwen ha Du », drapeau national moderne) et israéliens des participants stupéfient les militants d'extrême-gauche qui ne s'attendaient pas à la venue de manifestants défenseurs du droit d'Israël et de ses habitants à vivre en sécurité. Certains passants manifestent leur solidarité en applaudissant au passage du drapeau israélien. A la fureur des islamistes et de leurs alliés, les militants de Breizh-Israël déploient une banderole avec l'inscription : « Pas d'argent pour les terroristes ». Pour évoquer les victimes des attentats terroristes perpétrés par les islamistes, les militants de Breizh-Israël revêtent des masques blancs ensanglantés et brandissent des pancartes ou figurent un nourrisson victime d'un attentat ou l'on peut lire « ça c'est le HAMAS ».
L'islamisme : un totalitarisme insupportable
Le porte-parole de Breizh-Israël explique aux assistants le sens de leur présence face aux islamistes et à leurs alliés : « L'islamisme est le dernier en date des trois totalitarismes qui ont endeuillé l'humanité depuis un siècle. Après avoir subi la Shoa, le peuple d'Israël fait face à un nouvel ennemi qui menace son existence. Les Bretons, comme tous les peuples de la Terre ne peuvent demeurer indifférents. Toute apologie du terrorisme, de l'antisémitisme et de l'islamisme est clairement réprouvée par l'opinion publique bretonne et nous avons voulu le manifester clairement. »
A chaque fois que les islamistes et leurs soutiens locaux manifesteront publiquement leur soutien au Hamas, les militants de Breizh-Israël seront là pour exprimer leur refus du terrorisme et exiger le droit à la sécurité d'Israël et de ses habitants.
L'association Breizh Israël est née en mai 2006 pour faire valoir la solidarité des patriotes bretons avec leurs homologues sionistes mais aussi et surtout pour pratiquer un travail de pédagogie afin que le peuple breton s'inspire de l'exemple israélien en matière de relèvement culturel et national.
Porte Parole, Kevin Ar Meur